Le marché des appels d’offres représente entre 150 à 200 milliards d’euros par an dans l’Hexagone. Remporter même un ou deux marchés par an est un vrai avantage concurrentiel pour une entreprise. Mais remporter un marché public s’avère être un vrai parcours de combattant. Pour égaliser les chances d’une petite entreprise face à une grande firme, la conception d’un bon mémoire technique peut faire toute la différence. C’est le pilier de la réussite d’une candidature à un appel d’offres. Il faut bien le réaliser pour optimiser vos chances de gagner un marché.
Un mémoire technique pour bien répondre à un appel d’offre
Pour optimiser ses chances de réussite, il va falloir bien évaluer l’offre. Cette évaluation commence par l’étude de près du cahier des charges fournit par l’acheteur d’offres. C’est dans ce document que l’entreprise candidate pourrait avoir de plus amples informations sur les besoins du marché, les délais d’exécution des tâches, et bien d’autres. C’est dans ce document qu’est également mentionné le format imposé pour la rédaction des documents de candidature à un appel d’offres. Mais peu importe les besoins du marché, la rédaction d’un mémoire technique s’avère importante. Comme tous les autres documents, il se peut que l’acheteur d’offre indique ou non un format à suivre. Quoi qu’il en soit, il mémoire technique devrait laisser paraître le savoir-faire de l’entreprise.
Les méthodes pour concevoir un bon mémoire technique
Il n’y a pas de règles générales à suivre pour la rédaction d’un mémoire technique. Pour que ce document gagne en qualité, il est nécessaire de le personnaliser, et d’y démontrer les compétences de l’entreprise : tant au niveau technique qu’humain. Vous devez y laisser transparaître vos engagements pour la réalisation des travaux dans le total respect de l’environnement. C’est surtout le cas quand il s’agit d’un marché public BTP. Un bon mémoire technique doit suivre un plan précis. Pour cela, commencez la rédaction par un sommaire.
Laisser un commentaire